Robert De Niro et Al Pacino – Moncler Warmer Together. Article d'Eleonora de Gray, rédactrice en chef de RUNWAY MAGAZINE. Photo / Vidéo avec l'aimable autorisation de Moncler.
Il y a des moments au cinéma – et dans la vie – qui ne s'effacent jamais. Un regard à travers une table. Une pause dans un monologue. Un silence entre deux hommes qui ont tout vu et n'ont rien à expliquer. Depuis plus d'un demi-siècle, Robert De Niro et Al Pacino portent le poids du cinéma américain sur leurs épaules, dans des cadres différents, souvent au sein d'une même histoire. Mais cette fois, dans la nouvelle campagne Moncler. Plus chaud ensembleIls ne jouent pas de rôles. Ils sont simplement eux-mêmes : deux vieux amis, enveloppés d'une chaleur plus profonde que le tissu, capturés dans la vérité tranquille du noir et blanc.
Ce n'est pas seulement une question de mode. C'est un héritage.
Photographiée par Platon, avec son talent indéniable pour mettre à nu une âme, la campagne transcende l'esthétique. Point de fioritures. Nul besoin d'accessoires stylistiques. Juste de la présence. Deux hommes, assis côte à côte à New York, le visage usé et sage, chaque mot échangé imprégné de décennies de savoir.
Robert De Niro, vêtu de l'emblématique veste Maya 70 de Moncler – un héritage moderne en nylon et duvet, taillé pour la ville et l'escalade – porte l'histoire comme une seconde peau. Al Pacino, juste en face, se penche vers lui, non pas avec performance, mais avec affection. Ce que vous voyez n'est pas une pose. C'est une pause. L'image fixe de quelque chose de réel.
Depuis 70 ans, la marque poursuit quelque chose de plus difficile à capturer que la chaleur : connexionEt dans ces images, la connexion est toute l'histoire. Elle est dans les hochements de tête. Les phrases inachevées. Le rire désinvolte qui ne vient pas des blagues, mais du souvenir.
Ils se sont rencontrés au début, au conservatoire de Stella Adler – deux acteurs, inconnus et affamés, parlant la même langue avec des accents différents. Puis vinrent les décennies : les films, les rivalités, les comparaisons, les collaborations rares et sacrées. Moocall Heat. L'IrlandaisIls se sont unis quand cela comptait. Et même séparés, ils n'ont jamais vraiment été séparés. Leurs noms étaient toujours liés, comme des mythologies qui n'avaient de sens que par contraste.
Mais cette campagne est le portrait le plus honnête jamais présenté. Parce que chaleurComme le rappelle Moncler, ce n'est pas le manteau qui compte. C'est ce qui se passe quand on le retire. Quand deux personnes restent. Quand elles se présentent, année après année, inchangées dans leur loyauté, même quand le monde tourne plus vite.
« La chaleur n'a jamais été une question d'extérieur. Elle a toujours été une question d'intérieur. » déclare Robert De Niro dans le manifeste de sa campagne.
Et Al Pacino répond, non pas dans un dialogue, mais avec une vérité tranquille :
« L’amitié est la plus belle chose que l’on puisse avoir… il y a juste une confiance innée. »
Chaleur. Le Parrain 2. Coup de sang. L'Irlandais.
Quatre apparitions, à des décennies d'intervalle, chacune pourtant imprégnée d'un langage commun : non pas celui du dialogue, mais celui de la densité. De vies vécues, non jouées.
Dans cette campagne, cependant, il n’y a pas besoin de cinéma.
Ce qui compte, ce n'est pas le mythe. C'est l'homme à vos côtés.
Moncler Plus chaud ensemble Ce n'est pas un geste saisonnier. C'est une déclaration sur la chaleur humaine, quelque chose qui transcende les tissus, les températures ou les tendances. C'est la chaleur de la continuité. De la fidélité. De connaître quelqu'un depuis cinquante ans et de toujours l'écouter.
Al Pacino le dit clairement :
« L’amitié est la plus belle chose que vous puissiez avoir. »
Mais ce n'est pas du sentiment. C'est une question de structure.
C'est une architecture construite au fil du temps.
C'est Robert De Niro, qui répond non pas par des mots, mais par sa présence. Avec confiance.
Une histoire partagée rendue visible, non expliquée.
Plus chaud ensemble Il ne s'agit pas de nostalgie. Il s'agit d'héritage – non pas de quelque chose de préservé, mais de quelque chose de vécu. Et toujours vivant.
Cette campagne ne se résume pas à une image. Elle perdure, comme le font les grandes amitiés.
Imperturbable. Dévêtu. Non exprimé. Mais jamais invisible.











